atelier d'écriture en ligne du lycée Diderot

Les rayons du soleil transpercent déjà mon visage oublié. Assis dans les asphodèles inhumaines, en haut de cette montagne sans nom, il me prend de réfléchir, quelquefois. En contrebas, dans la vallée, s'écroulent les ruines d'un paysage éphémère. Une mince couche de brume recouvre mon esprit. Est-ce bien mon imagination, mon rêve ?
Rêverie ?
Et, l'âme embrouillée, je me lève. Je ne sais plus, je ne comprends plus. Je pêne à chercher, j'essaye de trouver. Mes rêves s'éteignent telle la lumière vacillante dans l'obscurité. La rêverie n'est qu'une feinte pour trouver des réponses, je rêve seulement pour me détourner de cet univers. Je rêve et les rêves envahissent mes rêves et la rêverie devient mon essentiel.
A présent ?
Et alors, je regarde le vide sous moi. Peut être n'est-ce qu'une rêverie de mon esprit, ou peut être pas. Et j'avance au bord du précipice. Maintenant, je comprends. Et un sourire dément illumine mon visage.
Il est temps.
J'ai sauté. Et lorsque mon corps touchera le sol en contrebas, j'aurai gagné. Et lorsque le faucheur m'aura pris, je n'aurai plus besoin de chercher.
Les rêves nous attendent tous, là, derrière ce monde éternel et feint.

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C'EST QUOI CE BINZ ????????????????????? CA VEUT DIRE QUOI AU JUSTE ????????????????????

Une mère et sa fille parlent de la gentillesse, la mère raconte à sa fille que la gentillesse est importante, tout comme celle du papa de la petite fille à qui elles sont venus rendre visite sur sa tombe.

-La gentillesse n'est pas innée mais elle vient petit a petit au moment où l'on grandit.

-Comment ça ?

-A la naissance on ne nait pas gentil. On a ce désir de possession, on a faim de vivre. La gentillesse diffère selon les gens, tout dépend de leur éducation que leur ont donnée leurs parents. Et toi, ma chérie, comment définis-tu la gentillesse ?

-Pour moi, maman, ta gentillesse est comme une bougie, j'ai beau être sous la pluie, sa lumière me réchauffe le coeur. 

C'est le rêve c trop facile!!!!!! lol

Putain : à l'origine ceci est une insulte désigant une femme de joie. Désormais on l'utilise comme interjection, il sort tout seul , on ne le contrôle même pas.Une émotion, un choc, une pensée et le voilà lancé, il est sortit, nous l'avons prononcé, ce mot pourtant si choquant,péjoratif,...dans les précédentes époques.

La musique

Elle existe depuis de nombreux siècles, elle change de registre au fil du temps: le classique, le jazz, le baroque...Mais elle  toujours une valeur et elle peut exprimer différentes choses chez les

la vraisemblance

Depuis l'époque du classisme tout le monde juge aux aparences, les gens en général se font une idée bien précise du parfait humain en toute circonstances alors que chaque personne est différente!! personne n'est parfait !

Quand une personne n'est pas conforme au attente elle est différente, beaucoup de gens jouent avec le jeu de l'être et du paraitre pour être comme tout le monde !ou alors pour se voiler la face!

ON est comme ON est ,même si sa plait pas!

on n'est comme on est

on nait comme on n'est

on n'est comme on nait

on nait comme on nait

Celui qui devine je lui offre un sandwich :

Comment réagiraient les hommes si les animaux passaient le buldozer sur leur maisons pour planter des arbres ?

Où se posaient les hirondelles avant l'invention du  téléphone ?

Se sont les arbres???????

Il peut être libre, et s'envoler quand bon lui semble. Il peut être une forme de politesse, un rayon de soleil pour un inconnu ou pour une personne familière un geste quotidien. Pour certain son chant est doux et agréable pour d'autre horrible et insupportable, d'autre le trouverons impolie, et préférerons des mots plus solennelle.Les comprennent des mots identiques de manière différente mais le but de certains son les même. Le coucou peut être un oiseau, chantant l'été émigrant l'hiver, et ouvrant sa voix à qui veut bien l'écouter, ainsi que le petit bonjour du matin qui ne coûte rien mais donne beaucoup! Les gens autour de soi voient que l'on pense à eux et se sentent un peu moins seul dans une société solitaire.

Il avait sonné à la porte, comme n'importe quel inconnu. Mince, blond, les cheveux longs, le visage paisible. Il me tendit un paquet, un de ces horribles paquets jaunes, tout faits, tout prêts, de la Poste. Mon adresse y était indiquée, écrite à l'encre violette, avec des pleins et des déliés d'un autre âge. Il refusa de me dire qui il était, ce qu'il voulait, il déposa le colis à mes pieds et s'en alla.

La boîte était légère, étrangement légère. Je la crus vide mais un bruit infime m'indiqua que ce n'était pas le cas. Je l'ouvris donc. Elle contenait un parchemin. L'écriture violette était la même que celle de l'adresse.

Je lus le parchemin. Il m'indiquait avec précision le jour, l'heure, l'endroit de ma mort. Depuis, j'attends...