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atelier d'écriture en ligne du lycée Diderot

atelier d'écriture en ligne du lycée Diderot
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Simple témoin ou plus ?

Le 20 avril, Journal d'Emmanuel Darley : "Deux jours de travail à Montpellier avec Jean Marc Bourg sur Etre Humain. Belle équipe. Le texte a revoir ici et là.Des terrasses de café, aussi.
Et puis, noté ça : Une gamine - 12 ans peut-être ou même pas - qui pousse un landau avec un petit frère sans doute et qui en même temps s'occupe de ses jeunes frères, si petite mais déjà responsable. Je suis assis sur un banc près du Centre Chorégraphique, ils passent en petit groupe, un peu chahuteurs, les garçons, et elle qui dit, avant, ici c'était la prison des femmes, on ne sait pas bien à qui elle s'adresse, les autres ne l'écoutent pas, peut-être est-ce à moi qu'elle le dit, son regard passe sur moi, sans doute est-ce surtout à elle-même simplement."

Racontez vous aussi une scène à laquelle vous avez assisté (mais que vous
pouvez imaginer) dans laquelle vous êtes un simple témoin. Vous utiliserez
la focalisation (ou point de vue) externe qui se contente de décrire une
situation. Vous pouvez cependant privilégier un registre particulier :
comique, pathétique, fantastique... Vous pouvez également avoir recours aux
discours rapportés.
A vos claviers."

Vincent Petitjean et Thierry Beinstingel

 

Ecrit par beinstingel, le Mercredi 27 Avril 2005, 22:40 dans la rubrique Actualités.

Commentaires :

Lefrancois Voirin
29-04-05 à 10:22

C'est pathétique mais pathologique

je patauge quand je met la main a la patte

et en plus j'ai pas d'idée !!!!!!!!!!!!!!!


 
Anonyme
29-04-05 à 10:26

Re:

AUTANT RIEN FAIRE MORT DE RIRE

 
Personeni Arnaud
29-04-05 à 10:33

guerre sauvage

L'aube s'éveillait.
La nature s'ouvrait, fleurissait comme les bourgeons au printemps, buvant avidement la rosée de la nuit. Les arbres faisaient de nouveau ombrage et les fleurs redonnaient leur teinte acidulée au paysage vierge et tendre. Les petits animaux s'éveillaient déjà, vaquant à leur taches insouciantes ; un oiseau poussait un chant matinal tandis qu'un écureuil courait sur un arbre, affairé à quelque sombre tâche. Une biche traversa même la plaine pour rejoindre à grands pas l'orée de la forêt en s'arrêtant un instant, comme si elle posait son regard sur mon existence.
Un calme plat et monotone s'installait, apte à la rêverie, aux songes et à la plénitude. Un sentiment étrange et laconique régnait, mais non point qui fut désagréable, au contraire.
Un grand fracas empli alors la vallée sauvage, apeurant les animaux et faisant jusqu'à trembler les fondations des arbres. Le fracas s'intensifia, encore et encore, jusqu'à ce que je visse au loin une armée en marche, avec hommes, chevaux et artillerie. Une autre en vînt à l'opposée, de même stature. De grands sifflements aigus résonnèrent soudainement et la terre s'emplit d'obus et de trous. Un vrai massacre s'engagea alors, poussant ces hommes à s'entre-tuer dans la poudre de leurs armes et de leur sang. Le combat dura des heures entières, résonnant dans les contreforts de la plaine. Les hommes butaient contre des cadavres, s'étouffaient dans la fumée acre et noire des armes et tombaient finalement, touchés à mort.
Peu à peu, les cris s'arrêtèrent et les coup de fusils ne crachèrent plus. Et maintenant, au milieu de ces cadavres déchiquetés, de ces trous d'obus, de ces mares de sang, une petite forme indistincte et terne gît, comme le cadavre désarticulé d'un enfant.
C'est une biche.


 
thomas
29-04-05 à 13:31

Re: guerre sauvage

je trouve ce texte très poétique et très bien décrit. Félicitation

 
Anonyme
23-05-05 à 20:08

Re: guerre sauvage

ARNAUD TON TEXTE EST FANTASTIQUE OU VA TU TROUVER TOUTE TES IDéES JADORE

 
Anonyme
29-04-05 à 10:41

soir de solitude

Je me promenais dans la nuit ,il devait être 23h30 j'étais seul comme d'habitude personne à qui parler.Au loin des rires jeunes et enthousiastes venaient dans ma direction, j'allais enfin pouvoir parler a quelqu'un mais... Il n'en étaient rien de tout cela, c'était une bande de copains qui riait entre eux, ils ne me jetèrent aucun regard même pas un bonsoir,ils parlaient de leur soirée au cinéma ou il  s'étaient amuser comme des gosses .une fois passer l'un d'eux posa une question "ou tu vas?" je lui est répondu "je rentre dormir la au moins je ne suis plus seul" j'attendais qu'il me dise de venir avec eux mais il ne me parlai pas a moi mais a sa petite amie.

 
Minoux
29-04-05 à 10:48

Parlez-en !!!

22 heures 30 il faisait déja nuit on n'apperçevait a peine la lune elle était d'une couleur dorée, les nuages la cachaient a moitier, les chats miaulaient et se battaient puis tout s'arrètait plus un bruit le silence pesait sur les quartiers puis des bruits de pas se firent entendre de plus en plus fort il se rapprochaient de la jeune fille assise sur le banc qui elle non plus ne faisait pas un bruit elle se lamentait sur son sort, elle portait le voile et c'était fait virée de son lycée car ses parents ne voulaient pas qu'elle l'enlève, elle était déja mariée à un garçon que ses parents lui avaient choisie , il était riche, beau et très croyant. Les parents de la jeune fille aussi étaient très croyants et ils recherchaient un homme parfait mais elle ne l'aimait pas. Revenons à la personne qui marchait vers elle il était grand, "il" car c'était un homme habillé tout en blanc avec une casquette très mal placée sur sa tête et il marchait bizarement on aurait dis qu'il boitait il s'approchait de Fatima c'était le nom de la jeune fille il commença à jurer envers elle. " une meuf comme toi a cet heure là doit pas sortir tu fais les trotoires salope " il s'approcha d'elle puis l'emmena dans un hall d'immeuble oui il la viola ... Fatima n'ira pas porté plainte prise par le silence elle ne voulait pas humilier sa famille.

DES HISTOIRES COMME CELA IL S'EN PASSE DES CENTAINE PAR JOUR OU PLUTÖT PAR NUIT. ALLER LES FILLES NE VOUS LAISSEZ PAS FAIRE N'AYEZ PAS HONTE DE CES MECS IDIOTS ET DEBILES.


 
jérémy
29-04-05 à 10:52

Re: Parlez-en !!!

exe bonne mentalitéllent

 
jérémy
29-04-05 à 10:53

Re: Parlez-en !!!

excellent bonne mentalité

 
Anonyme
29-04-05 à 11:22

Re: Re: Parlez-en !!!

super bien!!!


 
Anonyme
29-04-05 à 11:21

Re: Parlez-en !!!

J'ADORE

 
Anonyme
29-04-05 à 13:19

Re: Parlez-en !!!

super


 
Lefrancois Voirin
29-04-05 à 10:51

Anonyme

Le soleil couchant, donnant la sensation qu'il plonge dans cette eau d'un bleu profond, éclaire une jeune fille pensive; assise sur un rocher au bord de l'eau. On aurait dit qu'elle était éffacer du monde, loin de tout, loin de rien. Un sombre dessin se lisait dans ses yeux, une tristesse, un amour perdu. (suite plus tard).


 
Anonyme
29-04-05 à 11:24

La souffrance

qzgjç_jvoiç_vhyez(er-ysufyt('ra"érftybjço ;k

 
marion floriane marine
29-04-05 à 11:31

La cours étant verglacée, la recré venait de sonner la fin du plaisir le début de l'horreur, Marion sortit du hall peu convaincue mais pourtant,devant ces petits escaliers qui l'appelaient, elle courut et de ce fait se mangea la tête, finie les quatre fers en l'air et dit d'un air benin "zut je vais être en retard en cour" sans l'ombre d'une honte, juste ou bien seulement un éclat de rire énorme.


 
cécile zoé
29-04-05 à 13:20

Re:

Vous êtes vraiment des énormes, mais des énormes boulets !!!!!!! lol

 
benj et druchon
29-04-05 à 11:38

Dans une après midi paisible près de la mer mediterranée,je me trouvais dans une petite ville en compagnie de mes parents.Je marchais dans une petite ruelle très commerçante,devant moi des personnes dos tourné avec leur fils, le gamin parlait avec une voix timide il avait sûrement 12 ou 13 ans mais pas plus.

Tout à coup le petit garçonnet se retourna pour regarder une vitrine et là je vis que ce gamin en fait était un homme nain, cela me surprit.


 
????????????,2nd2
29-04-05 à 11:41

la cantine

j"adore écouté mes potes parlé dans la cantine, je les observe , j'essaye de comprendre ce qu'il ce disent! il y en a une qui mange parce qu'elle a faim , une autre qui raconte ce qu'elle vient de vivre il y a 1 heure ,une autre qui fait la tête parce qu'elle a pas eu la moyenne à son contrôle de maths , une autre qui parle de son petit ami ou encor une autre qui pense à ces prochaines vacances à la mer !! et tous les midi ou presque j'assiste à la même scéne ! Je regarde les autres personnes et je me demande ce qu'ils vivent en ce moment!! pour moi la cantine est presque un salon thé pour parler de sa vie!!   FRANCHEMENT PAS INTERESSANT !!


 
Géraldine C. et Mathilde B.
29-04-05 à 11:49

La souffrance

Il était toujours entouré de pleins d'amis mais se sentait terriblement seul! Ses amis qui le voyaient toujours en pleine forme ne pouvait pas s'en douter! Ils ne comprenaient rien mais pourtant des signes pouvaient le trahir! Le premier septembre, ses parents l'ont trouvé mort...il s'était suicidé! Il ne supportait plus la vie telle qu'il la vivait et même s'il ne voulait pas se laisser découvrir, il attendait secretement que quelqu'un vienne lui tendre la main. Malheureusement, personne n'était là au moment ou son moral était au plus bas et sa souffrance l'entraîna dans la folie. De sa souffrance lui est né l'espoir mais cette souffrance était trop forte et son esprit trop faible. Le physique peut caché les pensées mais il les trahit toujours si on y est attentif. Le rire nous protège mais n'est pas un remède efficace. Il le savait mais haïssait l'être humain pour ce qu'il était devenu. Il vivait parce qu'il devait vivre, et ne voulait causer de tord à personne. Il vivait pour ses parents mais il céda tout de même le premier septembre. Soyez plus attentif aux personnes qui vous entoure et tendez la main à qui en a besoin. C'est vous le remède le plus efficace...   


 
J.J.
29-04-05 à 11:50

l'amour de l'inconnu.

                         Il ne voyait pas son visage, ne pas connaître son interlocuteur est une chose effrayante, mais qui donne envie de persister. C'est comme sur internet on apprend à connaître les gens pour leurs justes valeurs. Là c'était pareil sauf que cette silhouette était devant dans la pénombre de la nuit, et qui refusait de se faire voir. Cette voix féminine était apaisente, elle lui dévoilait les moindres détails de sa vie mais pas son visage. Voulait-elle cacher un handicap, refusait elle de se faire voir car les gens ne l'appréciaient pas pour ses justes valeur? Grâce à un visage on peut percevoir certaine chose comme la timidité, l'autorité,..... mais cette voix m'apportait tous ceux que je voulais savoir. Au bout d'un certain temps il se rapprochait de cette silhoutte, il en tomba même amoureux.

_ LES GENS QUI NE JUGE LES GENS QUE PAR LEUR APPARENCE PASSE A COTE D'EXPERIENCE EXTRAORDINAIRE. 

PS: Cette personne qui n'osai pas se montrer avait un handicap physique, en temps normal il n'aurai jamais eu l'idée de l'approcher. Aujourd'hui ces deux personnes sont mari et femme.


 
pauline et gaelle
29-04-05 à 11:50

Quelles fréquentations?

Elle avait juste 12 ans, elle rentrait au collège et fit connaissance de nouveaux amis.Cette personne était réservée et très timide. Ses fréquentations étaient tout le contraire d'elle, plus les jours suivaient, plus elle les appréciaient.Ses nouveaux amis étaient du genre trés devergondés.Au millieux de sa scolarité elle a commencé sa première cigarette.Le soir en sortant de l'école et avant de rentrer chez elle, elle buvait de l'alcool avec ses copains.Ses parents ne le voyait pas car ils n'avaient aucunes infinitées et discussions entres eux. De jour en jour ,elle commencat à fumer de la drogue et plus exactement de l'herbe.  Plus les mois passèrent, plus elle devenait indépendante.Ses amis dont son copain, lui fesait faire les trottoirs pour récupérer de l'argent pour acheter de la drogue.A la fin de son année de collège elle compris que la vie ne pouvait pas marcher comme ça.Elle repris sa vie en main et se retournat vers ses études.A coté de ses études elle aida les jeunes à ne pas se retrouver dans la même situation dans laquelle elle était.

 
ben nourry et gérard
29-04-05 à 11:51

Le train train quotidien, elle avait fini ses cours, il était 18h, sa meilleure amie l'appelle en s'excusant de s'être emportée pour ces histoires de jalousies. Celle-ci lui demanda si elle pouvait la rejoindre chez elle, car des amis devaient passer vers 19h pour manger avec eux. En partant à pied sur le chemin pour aller retrouver son amie, des jeunes, d'une vingtaine d'année, en voiture, la musique à fond, toujours pour se faire remarquer s'arrêta près d'elle. Ils lui proposaient de l'emmener où elle devait se rendre, cela tombait bien car ils y allaient aussi. Mais la fille se rendit vite compte que le chemin n'était pas le bon. Elle ne comprenait plus rien ils s'arrêtérent dans un bois la sortit de la voiture, la viola toute la nuit. Le jour commençait à se lever, les garçons étaient en panique, du bruit au loin s'approchait. Du coup l'un d'eux cacha la plaque d'immatriculation pour la tuer. Mais la jeune fille réussi à s'échapper et à rentrer chez elle. Durant plus d'un mois elle ne disa rien à ses parents et n'osa plus sortir dehors peur de les croisés. Elle porta plainte et appris toute la vérité, sa meilleure amie avait maniguancé ce viol pour ce venger. 


 
zoé cécile
29-04-05 à 13:37

L'internat

La vie d'interne est une véritable source de rebondissements, d'instant de franche rigolade et des coups de blues passagers. Les moments de joies sont heureusement les plus nombreux, en voici d'ailleurs un exemple.

Alors que je rentrais de manger, je fus le témoin d'une scène plutôt amusante. Une petite précision s'impose: Sous les matelas des lits de l'internat, il y a deux plaques en bois facile à retirer. Une de mes colocataires, ignorant justement que l'une de ses plaques étaient retirées, s'assit tranquillement sur son lit. Bien entendu, elle s'enfonça brusquement jusqu'à en toucher le sol. Au moment même de sa chute, une surprise soudaine se lut sur son visage avec cet air de dire "mais qu'est ce qui se passe?!".Quand elle réalisa enfin ce qui se passait, un petit cri aigu émana de sa bouche.Elle ajouta finalement, "vous êtes vraiment une bande de boulets".


 
marion floriane marine
29-04-05 à 13:50

Re: L'internat

Vous êtes vraiment des énormes, mais des énormes boulets !!!!!!! lol

 
Maxime thomas et lucie
29-04-05 à 13:57

Description toute simple

Un enfant qui tient la main de sa mère, deux amoureux qui s'embrassent dans le coin d'une rue, une bande d'enfants qui s'amusent à la guerre, deux hommes saouls se tenant bizarrement avec une bouteille à la main, un homme marche la tête droit devant, une femme pleure, une autre femme est toute guillerette, un jeune homme saute en l'air de bonheur.

Voila les choses que je vois chaque fois que je vais en ville.


 


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